Carnet de bord : poursuite de l'approche des médiations numériques

Mon sentiment de la journée ...
Plutôt bon, heureusement car ce n'est que le deuxième jour ! Les contenus de cette formation sont complets, interressants mais très denses, je n'ai pas pour habitude de passer mes journées sur l'ordi et là je sature !!
Par rapport à Google document, j'ai découvert une très grande palette de possibilités et de services que je ne soupçonnais pas et dont je n'avais pas forcement besoin. Mais il se fabrique vite ! Je vais peut-être intégrer certains services à ma pratique limité du numérique. Je comprends l'intérêt que représente le fait de faire cette formation au début de la mégaformation (de ES). On apprend des techniques pour s'organiser pour travailler à plusieurs à distance. Ca donne des billes.
Pour une institution aussi, l'organisation proposée par les services de Google peuvent être profitables mais d'une je ne pense pas que ce soit une priorité. Si déjà les équipes (la miennes du moins) s'obligent à taper sur Word les PPi, syntèses et autres au lieu de les archiver manuscrites, ca serait déjà un bon début.
N'oublions pas non plus qu'un grand nombre d'écrits en institution est confidentiel et le fait de les mettre sur le net par Google Doc inquiète les professionnels qui ne maîtrisent pas ces technologies.

Je suis toujours réticente à l'idée de partager mes "articles" sur blog, mais d'un autre côté, je me dis qu'essayer de voir ce que ça donne réellement me donnera d'autand plus d'arguments si je persiste à être contre ce (ou cette) mode de communication numérique. D'un autre côté, je fais un minimum confiance et j'aimerai bien comprendre le bénéfice que l'on peut en tirer.

En substance car je suis à bout de concentration, l'identité numérique se réfère à et regroupe toutes les traces que nos différents passages sur le net ont pu laissé et qui sont censés nous définir virtuellement. Ouais ... à revoir si jamais j'ai le temps

J'immagine que l'intérêt pour un travailleur social d'avoir un blog est de partager des expériences, des reflexions ... Et pour ceux qui n'ont pas de carnet de vie (ou journaux intimes si cela parle plus) cela permet de mettre en mots les épreuves, joies, ressentis quotidiens pour, je ne sais pas prendre du recul, laisser une trace (justement), se raconter... En fait, j'en sais trop rien, et je n'en perçois pas l'intérêt.